Je suis encore au travail à temps partiel. Aurait bien aimé rencontrer une femme avec des intérêts autres que juste rire, aller manger au restaurant et boire du bon vin. Une non-piquée qui ne crache pas tout le temps sur Trump. Vous savez, celui que les médias nous demande de haïr.


À propos de l'alcool, ça affecte mon microbiote alors, je ne suis plus intéressé. Au surplus, notre second cerveau se situe dans notre intestin, sait-on maintenant, alors pas étonnant que ça affecte notre personnalité. Pas très reluisant pour notre vie spirituelle si on lui donne une importance autre que de lire à son propos.

J'ai enfin la certitude que l'hypergamie fait partie, de façon intrinsèque, de la femme. Alors, j'ai aussi adopté un point de vue se rapprochant de ceux de Schopenhauer et Nietzsche sur celles-ci. À notre époque, plus rien à attendre d'elles. Les femmes et les hommes n'ont rien en commun hormis le nombre de membres et d'organes. Pour le reste, l'ensemble est vide. Le sachant, on comprend mieux la crise civilisationnelle qui nous mène vers notre disparition comme civilisation. Du moins, nous, les occidentaux.

Ce qui est plus ou moins drôle, est le fait que le clivage s'opère de plus en plus jeune, encouragé par le féminisme. Une "youtubeuse", assez drôle, documente assez bien le dossier, Pearl Davis. Il y a aussi un certain Andrew Wilson qui s'engage dans des débats assez instructifs qui chassent bien un bon nombre d'idées véhiculées et infondées, voire carrément fausses.

Tout cela pour en arriver à : "le mieux a irrévocablement détruit le bien et le très bien". Pour un homme, plus grand-chose à attendre sinon des problèmes sérieux dans une union.

Le sachant, on peut plus facilement accepter la réalité. L'époque du "Peace and Love" est révolue. Les masques tombent aussi. Quand on réalise que la règle générale du 80/20 est omniprésente, on comprend beaucoup plus de choses.

Le féminisme aura au moins eu ça de bon, de montrer la nature réelle des femmes.